Trop cool, on s'retrouve !
On s'retrouve deux ans après, sur ce blog embaumant la naphtaline, qui s'est sans doute senti un peu égaré tandis que la toile s'étirait sans lui, mais qui n'a pas encore tiré sa révérence et s'apprête gaiement à accueillir mes nouvelles péripéties. A savoir mille et un délires, états d'âme, anecdotes, et autres geignements.
Ce blog ; puis nous. Nous, un peu timides de l'embarras inhérent aux retrouvailles qui suivent de longues séparations, mais ravis (en ce qui me concerne) de nous retrouver sur cette interface qui m'a accompagnée de Stoke-on-Trent, UK à Bujumbura, Burundi.
Et qui m'accompagnera pour un nouveau semestre à l'étranger.
Ne nous leurrons pas, si vous êtes là, vous savez déjà l'histoire. Néanmoins, dans un souci de cohérence pour ce blog, permettez un petit update du pourquoi cette réouverture 637 jours après avoir mis un point qui devait être final à un an de mobilité. La raison est simple, l'Ami : je suis à la veille d'un nouveau départ. Mes pas (c'est une image, hein, j'y vais en avion –refus parental catégorique de voyager avec Clio) me mèneront ce semestre chez nos amis allemands, à Berlin, pour mon stage de fin d'études.

Bis repetita. Il faut penser à… tout, en fait. Et ça, ça n'a pas changé en deux ans : valises (faire rentrer 5 mois dans 20 kg, on est d'accord, ça relève de l'exploit !), résiliation d'abonnement à Orange (qui refuse de résilier les abonnements), attestations diverses et variées, et compagnie... Heureusement, Mère est assez efficace dans ce genre de situation délicate ("Tu n'as pas rappelé la LMDE pour demander ta CEAM… Mais siiiii, tu sais ce que c'est, ça remplace le formulaire E111". Oui, Mère).
Je pense que ce sera suffisant pour ce soir. J'aurai bien le temps de vous décrire mon stage (quand j'en aurai une idée plus précise), mon logement (quand j'en aurai une idée plus précise), mon entourage (quand j'en aurai une idée plus précise) ; bref de ma vie là-bas (quand j'en aurai une idée même vague...). Pour le moment, à deux jours du départ, laissons-nous le temps de nous ré-apprivoiser.
La prochaine fois que j'écrirai, ce sera en direct de Berlin -et j'aurai alors eu une expérience concrète, et sans doute douloureuse, de ce que représente 20 kg de bagages.
Viele Grusse,
PS : pardon pour cette illustration pleine de clichés. En fait, c'est parce que de l'Allemagne je n'ai que des clichés en tête. J'ai hâte de voir ce que ça donne en vrai !
On s'retrouve deux ans après, sur ce blog embaumant la naphtaline, qui s'est sans doute senti un peu égaré tandis que la toile s'étirait sans lui, mais qui n'a pas encore tiré sa révérence et s'apprête gaiement à accueillir mes nouvelles péripéties. A savoir mille et un délires, états d'âme, anecdotes, et autres geignements.
Ce blog ; puis nous. Nous, un peu timides de l'embarras inhérent aux retrouvailles qui suivent de longues séparations, mais ravis (en ce qui me concerne) de nous retrouver sur cette interface qui m'a accompagnée de Stoke-on-Trent, UK à Bujumbura, Burundi.
Et qui m'accompagnera pour un nouveau semestre à l'étranger.
Ne nous leurrons pas, si vous êtes là, vous savez déjà l'histoire. Néanmoins, dans un souci de cohérence pour ce blog, permettez un petit update du pourquoi cette réouverture 637 jours après avoir mis un point qui devait être final à un an de mobilité. La raison est simple, l'Ami : je suis à la veille d'un nouveau départ. Mes pas (c'est une image, hein, j'y vais en avion –refus parental catégorique de voyager avec Clio) me mèneront ce semestre chez nos amis allemands, à Berlin, pour mon stage de fin d'études.

Bis repetita. Il faut penser à… tout, en fait. Et ça, ça n'a pas changé en deux ans : valises (faire rentrer 5 mois dans 20 kg, on est d'accord, ça relève de l'exploit !), résiliation d'abonnement à Orange (qui refuse de résilier les abonnements), attestations diverses et variées, et compagnie... Heureusement, Mère est assez efficace dans ce genre de situation délicate ("Tu n'as pas rappelé la LMDE pour demander ta CEAM… Mais siiiii, tu sais ce que c'est, ça remplace le formulaire E111". Oui, Mère).
Je pense que ce sera suffisant pour ce soir. J'aurai bien le temps de vous décrire mon stage (quand j'en aurai une idée plus précise), mon logement (quand j'en aurai une idée plus précise), mon entourage (quand j'en aurai une idée plus précise) ; bref de ma vie là-bas (quand j'en aurai une idée même vague...). Pour le moment, à deux jours du départ, laissons-nous le temps de nous ré-apprivoiser.
La prochaine fois que j'écrirai, ce sera en direct de Berlin -et j'aurai alors eu une expérience concrète, et sans doute douloureuse, de ce que représente 20 kg de bagages.
Viele Grusse,
Caro
PS : pardon pour cette illustration pleine de clichés. En fait, c'est parce que de l'Allemagne je n'ai que des clichés en tête. J'ai hâte de voir ce que ça donne en vrai !
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